Après notre belle soirée d'hier, quoi de mieux aujourd'hui que de vous faire travailler un peu les méninges ... prenez en de la graine, .... " ON " ose s'attaquer à notre mascotte "Chat Rabia" .. C'est du lourd ... et cela appellera surement droit de réponse ...... à suivre et bonne lecture les amis .......
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Cher « Chat’rlatan »… Heu ! Pardon, Charleston… Où «chat ravoil », un truc dans l’genre…
Jusqu’à présent, j’observais de loin vos frasques félines et dégoutantes comme autant de jalousies d’une race très vaguement cousine et oh ! combien moins lotie par Dame nature que la nôtre… Où je vous le rappelle on trouve de vrais héros genre Rintintin, Belle, voir Milou, Crocs blancs et le clochard… Même les Aristochats furent sauvés par les « deschiens » (y compris sur Canal + pour les culturés, lol) et quand on adulait, Sekhmet, la déesse lionne en Egypte, rien de plus qu’un gros chat, Anubis restait toujours celui qui décidait à la fin.
Vos quolibets prêtaient donc à sourire… Pure forfanterie d’inférieur pensais-je et n’y trouvez aucune attaque personnelle… Moa, Chabal de Vellone de Dakar, Boxer instruit et sévèrement burné ... Heu ! je m’égare… Bref, disais-je, moa, j’appréciai de loin vos égarements chafouins directement inspirés du langage de Fréderic Dard. C’était gentiment fun quoiqu’un tantinet vulgaire. Mais, vous fîtes deux erreurs impardonnables…
La première fut, disons-le tout net, votre caricature de la Baronne… Elphy… quelle beauté ! Quel parfum délicat ! Goujat vous fûtes de railler l’arôme divin de la fleur d’une si noble race… Si le destin m’avait fait homme (si, si Moonsieur, j’aurais pu) j’aurais assurément pris grand plaisir à vous oindre l’oignon d’une "chat-rentaise" du 44 en guise d’accélérateur de vos particules mesquines, jusqu’à les satelliser.
Là, franchement, en tant que représentant d’un éminent site littéraire dont je tairais le nom séant, j’aurais déjà dû relever le gant pour laver l’affront. Mais je me suis dit : Bah ! Après tout, comme disait l’autre : Oh ! Toi poète sans vertu, si tu fais des vers, fais les donc par le cul ! et je fis donc mien le choix de laisser pisser... convaincu que la belle rousse saurait bien se charger de son "chat-ligot" personnel.
Pour la seconde erreur, très cher, vous me blessâtes profondément en prétendant quitter monsieur Dard pour taquiner la langue de Molière d'une fort jolie façon alors que par principe elle ne sied guère aux rustres mal nés.
Aussi, pour terminer cette trop longue homélie, me devais-je de répondre à vos excès Cornéliens d'une simple épitaphe personnelle:
D'un verbe rieur, un ami qui l'était bien peu,
moqua un jour quelques pets sulfureux.
Mal lui pris, à priori, d'affronter l'ire
d'un cerveau bouillonnant au raz du délire
Plume assassine, je réponds aussitôt
Préférer moelle épaisse à mauvais sot
Les vilipendeurs de mon fiel, je déroute.
La leçon vaut bien un fromage, sans doute!
A la vérité la boutade est aisée,
à qui, cache ses désirs sous la billevesée.
Sachez donc que l'humour gras entre gens de chiens,
se conçoit uniquement en alexandrins !
Et souffrez qu'à la fin de l'envoi je touche , Moonsieur le Fat que je ne « chat-lus » pas.
Chabal ! """""