Alors que le premier hôtel pour chats urbains s'apprête à ouvrir ses portes en plein cœur de Paris, les animaux de compagnie des Berlinois sont eux aussi bichonnés comme il se doit, et même bien plus !
Le luxe s'invite dans la gamelle des animaux
La preuve ? Une épicerie de luxe entièrement dédiée aux boules de
poils les plus gâtées de nos voisins allemands a été inaugurée le mois
dernier, juste avant les fêtes de fin d'année. Décoration et ambiance
soignée, installations optimisées pour assurer le bien-être des clients à 4 pattes, étals ayant de quoi faire saliver animaux et humains : Pets Deli, qui s'est installé dans un quartier très huppé de la capitale allemande, ne fait pas les choses à moitié.
Comme chez un traiteur pour humains, on y trouve des petits plats préparés à base de dinde, de boeuf ou de kangourou, à emporter, ou à déguster sur place, mais aussi de délicieuses friandises, de l'huile de saumon, ou encore le Nyan Nyan Nouveau, vin pour chat (sans alcool évidemment) venu tout droit du Japon
Comme chez un traiteur pour humains, on y trouve des petits plats préparés à base de dinde, de boeuf ou de kangourou, à emporter, ou à déguster sur place, mais aussi de délicieuses friandises, de l'huile de saumon, ou encore le Nyan Nyan Nouveau, vin pour chat (sans alcool évidemment) venu tout droit du Japon
Cette idée, David Spanier, le jeune propriétaire de la boutique, l'a
eue grâce à son chien, qui ne supporte pas les aliments industriels. "La nourriture industrielle est mauvaise pour les bêtes. C'est comme si j'allais tous les jours manger dans un fast-food : je trouve ça bon, mais c'est très mauvais pour la santé" explique-t-il.
"Un magasin décadent"
David Spanier s'est associé à une spécialiste de l'alimentation pour animaux et affirme, non sans fierté, "que les viandes sont d'une qualité telle qu'elles peuvent être consommées sans danger par des humains".
Mais ce concept ne plaît pas à tout le monde. La presse allemande, comme le quotidien Bild, s'interroge sur l'utilité d'un tel établissement. Et certains crient à la décadence. "Un magasin aussi décadent donne l'impression que l'on fait plus de choses pour les animaux que pour les enfants", s'insurge ainsi Wolfgang Büscher, de l'association caritative Arche
On pourrait monter au club un "Quick Dog" avec Cyril comme cuisinier et Hélène pour un service "chiens pressés" !
RépondreSupprimerOn peut adorer, voir idolâtrer son chien et s'en occuper et le nourrir très correctement mais il y a des limites dans la connerie et je suis de l'avis Wolfgang Büscher.
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